A un moment il a bien fallu rentrer.
A un (autre) moment il a bien fallu trouver du boulot. (N’allez pas vous méprendre mes charmants parents sont ravis de m’avoir retrouvée, mais à 30 ans, je me suis dit qu’il serait temps de leur débarrasser le plancher et me construire un avenir radieux).
Alors j’ai choisi de me lancer dans une nouvelle aventure (Surpriiiiiiiiise)… et faire mes débuts en tant que vendeuse habillement et accessoires. (Quand on connait mon sens inné du style et mon esprit commercial à nul autre pareil on mesure l’ampleur du challenge… « Si, si je vous assure que cette robe de gala sera absolument magique avec un sweat et des Nike… Par contre je vous conseille de l’acheter à côté, c’est moins cher ».) #OhDear
Mais pourquoi vendeuse dans ce cas ?
(Est-ce que vous seriez encore en train de vous mêler de ce qui ne vous regarde pas ?!)
Tout d’abord pour satisfaire ce besoin primaire de me pousser dans mes retranchements (chacun-e sa croix), mais aussi, parce que pour développer d’autres projets (« Je te tease, tu me teases par la barbichetteuh… ») j’ai besoin d’un gagne pain aussi éloigné que possible d’un logiciel de traitement de texte.
Et du coup ?
Fastforward 3 jours plus tard (oui oui 3 jours !!) me voilà embauchée dans une boutique de la très chique rive gauche dont je tairai le nom.
Je me propose donc, avec la générosité qui est mienne, de partager ici mes épiphanies (et autres galères) sur ce milieu au combien bienveillant et philanthrope qu’est la vente en prêt-à-porter…
Parce qu’après tout il vaut mieux en rire…